Depuis trente ans au moins, la France vit une crise. Ses manifestations étant d'abord sociales (chômage, taxes, pouvoir d'achat), beaucoup proposent des solutions qui restent sur le terrain social. Les remèdes proposés seront insuffisants, car la racine de la crise est plus profonde.
Les propagateurs de la thèse officielle de l'Holocauste disposent d'un film en noir et blanc qui montrerait un "gazage expérimental" perpétré en 1941 dans un hôpital psychiatrique de Mogilev. La scène aurait été filmée par un SS, Arthur Nebe. Après la guerre, un chimiste allemand, Albert Widmann, avoua sa participation à ce gazage expérimental. Il donna de nombreux détails. D'autres SS confessèrent à leur tout et confirmèrent...
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard commence par expliquer que cette histoire de "gazage expérimental" ne repose sur aucun document d'époque. Les historiens accrédités recourent à des "aveux" d'après-guerre. Vincent Reynouard explique ensuite pourquoi ces "aveux" ont peu de valeur. S'appuyant sur des travaux américains, il expose les techniques policières d'interrogatoire qui permettent de faire avouer un suspect, qu'il soit innocent ou non. Puis il expose les cas d'Allemands qui, en 1945 et ensuite, ont été victimes de ces techniques policières. Parmi figurait le secrétaire personnel de Himmler, Rudolf Brandt: il avoua tout ce que l'Accusation voulait avant de se rétracter... Cette partie de la vidéo est passionnante. Elle réfute l'argument qui consiste à dire: "Les bourreaux eux-mêmes ont avoué, alors qu'ils n'avaient pas été torturés. Or, personne ne peut avouer un crime qu'il n'a pas commis, s'il risque la peine de mort..." Vincent Reynouard explique enfin pourquoi le film qui montrerait un "gazage expérimental" est dénué de force probante. Outre des étrangetés dans le film lui-même, sa "découverte" en 1947 relève du conte de fée, il a été utilisé uniquement dans le cadre d'un documentaire de propagande, et aujourd'hui, l'original serait "perdu". Pour l'auteur, la scène du "gazage expérimental" a été tournée par les Soviétiques après la guerre, dans le cadre d'un documentaire de propagande antinazie...
Plan de la vidéo
I. De la "Shoah par balles" à la "Shoah par gaz": une histoire qui ne repose sur aucun document d'époque
II. La valeur des “aveux” obtenus après la guerre
1°)Menaces sur les familles pour obtenir des aveux signés : le cas de Fritz Sauckel (pendu en 1946) 2°)Les techniques traditionnelles d'interrogatoire qui permettent d'obtenir les "aveux" désirés
- Réponse à l'argument : sauf torture physique, personne ne peut avouer un crime grave qu'il n'a pas commis
- Un ancien inspecteur de la police de New York confirme : je peux obtenir n'importe quel aveu
3°) Le cas du secrétaire personnel de Himmler Rudolf Brandt (pendu en 1948, le jour de son anniversaire) 4°) Le cas de l'ancien commandant d'Auschwitz Rudolf Höss (pendu en 1947) 5°) Après les "aveux" publics de Rudolf Höss, tout démenti devient inutile: le cas d'Otto Moll (pendu en 1946) 6°) Le jugement de Nuremberg confirme que tout démenti sera désormais vain: les cas d'Oswald Pohl et d'Albert Widmann
III. Le film montrant un gazage expérimental
1°)Un film effectivement tourné à Mogilev (Biélorussie), mais par qui? 2°) La "découverte" du film l'original en juin 1947 3°) Un film capital que l'on ne montre ni au procès des Einsatzgruppen, ni au procès de Widmann... 4°) Un film capital dont l'original est... perdu 5°) Mon hypothèse sur la provenance réelle du film
Conclusion générale